Guinée : la question du développement du capital humain au centre d’une rencontre 

 Amadou Thierno Diallo, ancien ministre de la coopération et de l’intégration africaine, initiateur de cette rencontre a estimé qu’il fallait engagé le débat en profondeur sur les problématiques que traverse le pays.

 » il fallait que nous engageons ces genres de débats dans notre pays et contribuer à bâtir une nation unie et prospère. C’est pourquoi on a mobilisé quelques personnalités qui travaillent dans le secteur et on a choisi de discuter du capital humain. Il y a beaucoup à faire. Ce n’est pas seulement le capital humain, il y a les infrastructures, il y a l’éducation; c’est des sujets qui viendront. « , a-t-il indiqué.

Plusieurs sujets qui freinent le développement socioéconomique du pays ont été soulevés. Notamment  l’éducation, la mal nutrition entre autres.

« L’Homme est le capital le plus important, parce qu’il est au début et à la fin de tout le processus de développement. C’est l’homme qui agit sur la matière pour la changer pour que nous ayons les biens que nous avons. Et s’il n’est pas à même de le faire parce qu’il n’a pas les compétences requises, parce qu’il n’a pas la formation nécessaire, parce qu’il n’a même pas le patriotisme qu’il faut aussi. Parce que nous avons ce problème aussi en Guinée aujourd’hui », a souligné Hadja Makalé Camara.

Pour Julien Yombouno, ancien ministre du travail et de la fonction publique : « On développe le capital humain comme tout le monde. Il y a la formation, il y a l’école, il y a le renforcement des capacités, il y a l’auto apprentissage. »